Dans sa jeunesse, qu’il a passée dans les années 70 et 80 sur le Carreau de Creil, un quartier réputé difficile, Philippe Calabria était rocker. Guitariste. Il était aussi expérimentateur de tout ce qui était expérimentable. Ses copains aussi. « Autour de moi, ça tombait comme des mouches. J’en ai vu qui se démontaient la tête à l’alcool, aux médicaments, à la codéine, qui se suicidai...
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