Éric Fourcy, responsable local de l’enseignement, l’équivalent d’un directeur d’école, passe dans les rangs, distribue des brouillons, « jaune pour les garçons, rose pour les filles ». Les sept détenus, dont deux hommes, ont entre 22 et plus de 40 ans, mais ils n’en semblent pas moins stressés. Une femme au tatouage qui serpente le long du cou mâchonne son stylo, pensive. Et...
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Ils passent le brevet des collèges... en prison, «Au niveau de la reconnaissance, c’est important»
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