Ce qui frappe d’abord, c’est sa voix. Un timbre très particulier. À mi-chemin entre Bashung et Dick Annegarn. Puis, juste après, on est saisi par une autre étrangeté, celle des textes. Beaux et simples comme l’épure d’une lande bretonne soufflée par le crachin tranquille d’une poésie enveloppante et mystérieuse. On écrit ça parce que le bonhomme est breton, né il y a 47 ans à Quiberon. ...
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